Name: Pont Jacques Cartier sous le smog
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Description

🇬🇧 Outstanding photo on fine art paper – “Klimatik” Series

I took this series of photos of Montreal under the smog of the forest fires on June 25, the worst day for the air index. Despite the recommendations, I wanted to take an hour to go to the Jacques Cartier Bridge and testified to my anger and dismay. These photos illustrate the first extremely concrete and restrictive situation (excluding heat episodes) related to climate change, with which we, the inhabitants of greater Montreal, were confronted. Sadly beautiful with this sunlight, our main source of life and energy, completely veiled, we have touched with our finger (and lungs) a probable future. That day we lived, collectively, imprisoned in our homes, global warming knocking on our doors and windows. For the first time in my life, I felt a certain anxiety to breathe, aware from the smell of the air, the color of the sky and the reports on the news, that each inhalation was toxic. It is all of these sensations that I wanted to convey through these few shots.

Original photo in limited edition
10 numbered copies per format
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3 sizes available
1 inch white border included
Matte finish, textured surface without reflection
300gsm paper weight
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🇫🇷 Magnifique photo sur papier Beaux Arts – série “Klimatik”

J’ai réalisé cette série de photos de Montréal sous le smog des feux de forêts le 25 juin, pire journée quant à l’indice de l’air. Malgré les recommandations, j’ai souhaité prendre une heure pour me rendre sur le pont Jacques Cartier et témoigné de ma colère et de mon désarroi. Ces photos illustrent la première situation extrêmement concrète et contraignante (hors épisodes de chaleur) en lien avec les changements climatiques, à laquelle nous, les habitants du grand Montréal, étions confrontés. D’une triste beauté avec cette lumière du soleil, notre principale source de vie et d’énergie, complètement voilée, nous avons touché du doigt (et des poumons) un avenir probable. Ce jour là nous avons vécu, collectivement, emprisonnés dans nos maisons, le réchauffement climatique qui frappait à nos portes et nos fenêtres. Pour la première fois de ma vie, j’éprouvais une certaine anxiété à respirer, conscient de part l’odeur de l’air, la couleur du ciel et les informations aux nouvelles, que chaque inhalation était toxique. C’est l’ensemble de ces sensations que j’ai voulu retransmettre à travers ces quelques photos de Montréal sous le smog des feux de forêts.